C’ est l’un des objectifs fondamentaux de l’enseignement à l’école de Beaux-arts de Nice, dite Villa Arson
C’est exactement ce qu’on voit sur l’image jointe au communiqué de presse intitulé « Villa Arson & professionnalisation »
« La préparation des étudiants au monde du travail est l’un des objectifs fondamentaux de l’enseignement à la Villa Arson. » Ben voyons !
« Les projets d’enseignement sont conçus en partenariat avec de nombreuses structures publiques et privées – musées, centres d’art, festivals, scènes nationales, théâtres, fondations, studios d’artiste, galeries, entreprises – en France et à l’étranger.
En plus de l’accès aux ateliers de production et d’expérimentation et aux galeries d’essais, la Villa Arson offre à ses étudiants la possibilité de connaître toutes les modalités de la vie de l’œuvre d’art : de sa conception à sa production, des méthodes et des techniques de son exposition jusqu’à sa diffusion et à sa médiation. L’étudiant a ainsi un premier contact avec les autres métiers liés à la création artistique : le commissariat d’exposition, la régie et la production, la médiation culturelle, etc.
Aujourd’hui, l’établissement met en place plusieurs dispositifs d’accompagnement de l’étudiant vers l’après-diplôme, dont un workshop en régie et installation d’expositions, un programme de rencontres sur les aspects administratifs du quotidien de chaque artiste ou encore une exposition spécifiquement dédiée aux diplômés de la Villa Arson. » …GNiark ! GNiark !
Comme on le voit ici, les Ecoles des Beaux-Arts publiques en France sont un outil essentiel de perpétuation du grand délire de l’art « contemporain » d’Etat, qui relève plus de la psychiâtrie que de l’art ou de la culture.
Ces écoles ont un très très gros problème existentiel.
En effet, les collectivités locales qui les subventionnent à 81 % n’ont pas leur mot à dire…Ceci n’étant qu’une des moindres absurdités caractérisant ces établissements toxiques pour notre jeunesse et coutant très cher en argent public.
Quant à la « préparation au monde du travail » parlons -en !. C’est encore dans l’ordre du délirant déni de réalité. Car on sait bien que la plupart des diplômés ont plus de chance d’être caissier de super-marché, qu’artiste « « professionnel »… après une période d’assistanat où l’appareil institutionnel les trimbale de résidences en résidences, entrecoupée d’expos en galeries municipales subventionnées, sans autre public que celui de l’entresoi cultureux local.
Trois détails à noter sur la photo jointe :
Qui en disent long sur l’état de délabrement psycho-mental de cette « prestigieuse » école d’art
- L’inscription en haut « Breath less to sing the water » : ce qui pourrait vouloir lire « respirer moins pour chanter l’eau » …Profondément aqueux
- Le petit dessin qu’ils scotchent au mur…étrange, étrange…Pourquoi pas une banane ?
- Le pantalon de la demoiselle de dos…Bizarre Bizarre !

Contribuer à mettre dans les esprits que l’artiste prétendument « foutraque » est un gage de qualité détourne le « grand public » de son possible goût pour l’art.
Le bon sens commun lui donne l’impression que l’on se moque de lui et laisse planer l’idée que s’il ne comprend rien, ce n’est pas qu’il n’y a rien à comprendre mais qu’il est trop sot, manque de culture et autre mauvaise foi insigne !