UN HAUT- LIEU DE RÉSISTANCE CONTRE L’INEPTE ARTISTIQUE INSTITUTIONNEL.

Tripal, corporel, sensuel, sauvage, barbare, onirique, visionnaire  fantastique, méta-surréaliste, résolument figuratif, etc… Il est le lieu d’une expression artistique que l’institutionnalité française  déteste, ringardise, réactionnarise et combat depuis 40 ans  au nom du progrés en art.

Figuration Critique propose un art  généreux, courageux, goûteux, plein d’odeurs et de fureurs,  de sens de contenu , d’humanité et de savoir-peintre…c’est-à dire  à l’opposé exact de cet d’un art sans art,  conceptualo-postural, faussement subversif, sur-intellectualisé dans la débilité de fond, parfaitement déshumanisé, insipide, incolore  et  sans odeur, dit contemporain, que les sbires du ministère, ravagés par 40 ans de consanguinité dégénérative en milieu fermé,  promeuvent à grand renfort d’argent public, en étroite liaison avec les réseaux privés spéculatifs grands marchands ….

Une figuration dont le caractère résolument « critique » s’affirme depuis 40 ans (Merci Maurice Rapin, Mirable Dors et Yak Rivais) … Un salon qui montre la vitalité, la richesse et la diversité de la création indépendante  actuelle…Un salon dont il faut célébrer la liberté et l’engagement et reconnaître qu’il est d’utilité et de salubrité publique.. en une période où le déni du réel est très « tendance »…

Ce salon est donc le  moins « contemporain », dans l’acception officielle concepualo-posturo-bidulaire du terme ,, bien sût (acception née d’un hold-up  sémantique d’une malhonnêtetée inouie)…

Il est le plus actuel, parce que les artistes qui y figurent, représentent  cette part de 90% de la création vraiment vivante  et bien réelle, mais  niée, disqualifiée, exclue et ringardisée par le magister cinquantenaire et indéboulonnable d’une idéologie étatique  conceptualo-débilo- financiaro- bidulaire institutionnelle ravageuse de sens.

Voir ici les 73 excellents artistes de cette édition 2024 : https://figurationcritique.art/artiste/

Un art de la nécessité intérieure

« Ce qui importe par dessus tout dans une œuvre d’art, c’est la profondeur vitale de laquelle elle a pu jaillir» : ce rappel d’une évidence éternelle est de James Joyce . Le Président Claude Lieber a raison de s’en servir en exergue de  sa préface de cette édition 24

Il a raison de préciser aussi que : « Loin des diktats conceptualo-bidulaires (Merci  Nicole Esrerolle !) , Figuration Critique persiste et signe, confortant, par l’exigence de sa sélection, sa volonté de représenter les différentes expressions de l’art contemporain au travers des œuvres de 73 artistes qui, émergeants ou confirmés, témoignent de notre époque. »

Un des hauts- lieux de la restauration du sens en art de résistance contre l’ineptie institutionnelle imposée.

C’est la qualité intrinsèque, la liberté, l’ inventivité des artistes de ce salon, qui fait de celui-ci

• Un haut-lieu de restauration des valeurs éternelles de l’art et de résistance à l’hégémonie déconstructive et mortifère  de la coalition bureaucratie- technocratie – conceptualocratie- duchampocratie – burénocratie- ploutocratie,  productrice de cet art dit « contemporain ».
• Un haut-lieu de rencontre , d’échange, de solidarité entre le artistes indépendants de toute détermination idéologique extérieure, de type  bidulo- sociétalo-questionnatoire casseuse de codes.…
• Un haut-lieu de solidarité entre des artistes non-pollués par la subvention, entre d’ authentiques artistes  de la nécessité intérieure, de l’expression personnelle  ancrée dans un vécu immédiat , qui fait la valeur universelle, intemporelle  et partageable par tous  de leur œuvre
• Un haut-lieu,  parmi de nombreux homologues,   comme le 109 ,  Convergences, Passage à L’art de Cherbourg,  et, fort heureusement, bien d’autres en France , qui offrent une alternative à la dictature actuelle du conceptualo-bidularisme de type FRAC.
• Un haut-lieu qui pourra être  l’initiateur d’une union des salons d’artistes, pour faire face  au mépris et à la malfaisance des experts intellos-décérébrés de DRAC qui , avec l’argent public, s’emploient à  les invisibiliser.
• Un haut-lieu de coordination des actions pour tous ceux, galeristes, revues d’art, associations d’artistes , organismes divers, qui partagent la même envie d’en finir avec la délirante esthétique ministérielle.

Oui, ce salon  est bien le plus « critique » que l’on puisse souhaiter et nous devons le soutenir.

Plus d’infos sur  Figuration Critique :

https://figurationcritique.art