Au sujet de l’œuvre de Nina Beier et Marie Lund (image jointe)
« Blanc sur blanc – tout est dans les tuyaux !
Quel est ce look monochrome qui a provoqué un effondrement du décor? Peut-être les pièges d’une disparition annoncée. Un chant du cygne laissant place à une entité ambidextre affichant sa parenté dialectique, avec un air de danse en arrière-plan. Une entité accompagnée de la prestidigitation d’un poème ; une note d’ambiance, cachée au fond d’une paire de gants et de chaussures. (4) Les deux discours se dérouleront parallèlement, mais quelques mots pourront interagir par le hasard de leur itinéraire commun ou érotisme. Comment rendre cette voix concrète ? En l’indexant, en y reconnaissant l’ombre de quelque chose, la silhouette d’un souvenir, d’un chemin parcouru. Divagations sans buts. Là surgit alors l’invitation à tenter sa chance avec le nombre 42 ». Ben voyons Ginette !….Pourquoi se gêner ?
et c’est signé Arlène Berceliot Courtin , « travailleuse de l’art »(dit-elle ), chercheuse, enseignante et curatrice indépendante. Engagée au sein du conseil d’administration de CEA – Association Française des Commissaires d’Exposition, elle milite pour une reconnaissance du commissariat d’exposition en tant que travail d’auteur·rice. Elle est également membre de l’IKT – Association Internationale des Conservateurs d’Art Contemporain et de l’AICA France – Association Internationale des Critiques d’Art. Après dix années à la direction de galeries d’art de renommée internationale telles qu’Air de Paris, galerie Allen et Michel Rein, elle fonde le curator-run-space furiosaen 2018. Un bureau de recherche en art et en curating dont la vocation principale est le développement d’une approche analytique et réflexive des modalités de diffusion et principes d’acceptation des pratiques curatoriales….Du très lourd, vous dis-je !