Critiquer ou analyser les mécanismes du terrorisme intello-gauchier de l’art dit contemporain, fait que l’on est inévitablement , même quand on est congénitalement de gauche comme Philippe Domecq et moi (et d’autres) , traité d’extrême – droitier facho-nauséabond, par le camp du bien, du bon, du beau et du vrai, qui contrôle l’appareil médiatico -culturel depuis l’arrivée du progressisme esthétique Lango-mollardo- Mitterrandien.
Cette absurdité et cette injustice cinquantenaires posent un très inquiétant problème de fond… mais aborder la question reste encore de l’ordre du tabou, et de ce déni du réel dont ne peur s’extraire la senestre bien pensance.
Chers collègues critique d’art, il serait peut-être temps de s’en préoccuper…( je vous joins mon réquisitoire contre vous paru dansn Marianne)
Je vous joins aussi copie du texte sur le sujet de Jean-Philippe Domecq, figurant en préface de son livre « La comédie de la critique » – édirions Pocket- 2015