- Il y a l’art proprement dit, naturel, historique, partageable, libre, poétique, mystérieux , sauvage, imprévisible….tel qu’il est montré sur ces deux sites :
https://www.museumnicole.fr/myproject/galerie-artiste-a
- Il y a l’art labellisé « contemporain », produit artificiellement par l’appareil bureaucratico-financier …. tel qu’il est montré, avec quelques échantillons bien représentatifs , sur ce site dédié :
https://www.museumnicole.fr/merdouille
Le premier

est abondant, florissant, d’une richesse et de diversité inouies, joyeux , vivant, généreux, ouvert, positif. C’est un art plein de vie, de sens et du contenu, bien ancré dans un lieu, dans une intériorité individuelle, plein d’odeur et de saveur, non pollué par la subvention et partageable entre tous les cultures et toutes les classes sociales… aussi est-il accusé de populisme ringard et réationnaire par les acteurs subventionnés ou fonctionnarisés du second
Le second

Pure émanation du camp progressiste du bien et du beau, produit de spéculation tant intellectuelle que financière, très minoritaire, mais hypermédiatisé par l’administration culturelle elle-même, il sort des tuyaux de l’appareil institutionnel , tout formaté, déshumanisé, idéologisé à fond, désodorisé, dépoétisé, dépoétisé, désartisé, déconstruit, casseur de codes, subversif à souhait, volontiers intello-terroriste, autant sur-intellectulé qu’imbécile et dont l’arogante imbécilité devient la vertu première et , en quelque sorte , consubstantielle….pour l’élite mondialisée.
Ce schisme ou cette bi-partition dans champ de l’art français est une réalité connue de tous, sauf des experts patentes en la matière, des critiques comme Mr Dagen, des historiens- riennes comme Melle Millet , des sociologues comme Mlle Heinich et mêmes des plus éminents philosophes de l’art comme Mr Didi Huberman.( Quant-à Melle Dati, elle s’en tape royalement)