
Deux icônes de l’art dit « contemporain », comme gigantesque détournement d’argent public pour l’endoctrinement du bon peuple à l’esthétique progressiste de type conceptualo-lango-duchampo- posturo-buréno-financiaro-bureaucratico- bidularo déconstructiviste et casseuse de codes.
Le service public pour l’art contemporain étant bien pire que le service public de de l’audio-visuel ou de l’Éducation Nationale, pour ce qui est de cette dérive « État dans l’Etat », incontrôlable et pourri par l’idéologisme.
Bonjour,
Ça laissera forcément des traces cet Art dégénéré.