( Exrait de ma nouvelle chronique dédié aux artistes méritant notre attention )
Voici un specimen de l’artiste « contemporain » parasite des grandes causes humanistes, comme il y en a de centaines, qui ainsi, se font bien voir des instances intitutionnelles subventionnantes , et qui en même temps compensent leur manque de contenu vraiment artistique….Ces opportunistes déservent gravement la cause qu’ils prétendent soutenir…avec la bénédiction de cette alliance sacrée des intellocrates wokes et des ploutocrates humanistes, qui constitue un aspect du contemporain en art.
Extraits :
Dans le travail d’Hazoumé, l’esclavage est le thème récurrent. Il ne s’agit pas de l’esclavage historique de la puissance occidentale dominante à la recherche d’une main-d’œuvre bon marché, mais d’équivalents plus modernes. Hazoumè se concentre sur les hommes béninois obligés de transporter de l’essence de contrebande entre des sources nigérianes et leurs consommateurs béninois. Les estimations suggèrent que 90 % de tout le carburant utilisé au Bénin passe par ces canaux du marché noir connus localement sous le nom de Kpayo. Sa série photographique expose un système secret d’exploitation grossière. Qu’il s’agisse de confronter l’héritage de la traite négrière ou de créer des portraits pleins d’esprit, son travail documente la diversité de la vie africaine d’aujourd’hui. »