D’épaisses fumées noires de la discorde s’échappent des cheminées du FRAC Centre (image jointe 02)
La mauvaise ambiance qui règne ici illustre bien le malaise général qui gagne l’entre-soi dégénératif de la fraquitude nationale.
Après avoir été licencié pour incompétence le Directeur du FRAC Abdelkader Damani ( qui avait hurlé au racistme anti-maghrebin) se voit réintégré par le tribunal administrartif
Si cela vous intéresse, vous pouvez lire ici les détails de cette sombre affaire de cornesculs culturels orléanais
(à laquelle je ne comprends rien)
Mais qu’à cela ne tienne, l’art conttemporain must go on en Val de Loire
- Un art contemporain djihadiste
Je relève ça sous la plume d’un journaleux local : « Une collaboratrice du FRAC m’exprimait son émotion de voir des femmes issues des quartiers populaires, certaines portant le hijab, venir en groupe, entre copines, et franchir les portes des Turbulences, ce bel espace d’art contemporain avec lequel elles avaient établi un rapport d’intimité, sans doute après une première visite avec des animateurs lors d’une biennale. »
- Un art contemporain néo-féministe
Une exposition de la plasticienne féministe Katharina Cibulka
« Dans le projet intitulé en allemand SOLANGE, qui signifie « Tant que », l’artiste Katharina Cibulka utilise des bâches anti poussière installées sur les chantiers de construction pour y inscrire des slogans en tulle, illustrant la nécessité persistante des revendications féministes.
Avec son œuvre, elle investit le milieu masculin de la construction et se l’approprie, autant par le message social que par le procédé de la broderie, historiquement attribué aux femmes. La singularité de ce projet international réside les phrases choisies, fruits d’un travail collaboratif mené par l’artiste au contact des habitant.es qu’elle rencontre.
C’est ainsi qu’à la suite d’une résidence effectuée en juin 2024 à Orléans, Katharina Cibulka dévoilera sur la façade du Frac Centre-Val de Loire le slogan de sa dernière production, (Image jointe SOLANGE N°30. Inaugurée pendant les Journées Européennes du Patrimoine et du Matrimoine, l’œuvre se veut vectrice d’échanges et de discussions entre les orléanais.es autour des problématiques de genre et des rôles socialement attribués aux femmes. »
… Ben voyons Ginette ! Pourquoi se gêner ?