On s’attendait au pire pour cette sélection menée par le divin Blistène, avec les sélections des incontournables Othoniel et Hyber…Eh bien non, on a échappé à ces deux -là, mais on est dans l’encore pire avec l’arrivée de notre indestructible calamité plasticienne  nationale, Buren.

Autour de lui, pour le choix final, un dizaine de sous-calamités nationales (Jean-Michel Alberola , Philippe Parreno , Yan Pai-Ming, Claire Tabouret, Gérard Traquandi ,  chouchous des FRAC et des grandes financial-galleries françaises : Kamel Mennour, Lambert, Templon , Putman , Perrotin, Ropac, etc

Les  images d’œuvres calamiteuses de ces plasticiens,  que je vous joins, questionnent avec effroi  sur leur possible transposition en calamités vitraillères…

Il s’agit là, bien sûr, outre l’injure qui est faite à Notre-Dame, d’une nouvelle injure aux artistes artisans verriers et vitraillers rabaissés au rang  de tâcherons  exécutants , alors qu’ils auraient pu réaliser des vitraux d’une véritable qualité « contemporaine » .

Ici encore, l’art contemporain s’immisce sur le patrimoine comme un  parasite dévastateur 

Remarque en passant : si la DRAC Ile de France,  au lieu de gaspiller son argent  pour  l’art contemporain, l’avait utilisé pour renforcer la sécurité incendie de Notre-Dame…. 

Bref, faisons en sorte que ce projet épouvantable ne « passe » pas en signant la pétition :

https://www.change.org/p/conservons-%C3%A0-notre-dame-de-paris-les-vitraux-de-viollet-le-duc