La Franco-Béninoise Marie-Cécile Zinsou , dite l’ « amazone de l’art contemporain en Afrique », vient d’être nommée pour trois par le Ministère de la Culture à la présidence de la Villa Médicis de Rome.
Son curriculum vitae
Il montre qu’elle est la personne providentielle pour , dit-elle, « réenchanter » la vielle institution » créée il y a très longtemps par Colbert, cet affreux esclavagisiste.
- Elle a effectué une partie de ses études à l’Ecole Alsacienne .
- Elle a créé en 2005 à Cotonou la Fondation Zinsou pour la promotion de l’art contemporain financier international en Afrique
- Elle a en effet un papa financier d’envergure mondiale , ayant travaillé notamment pour l’industriel français Antoine Ribour, avant de devenir Premier ministre du Bénin de juin 2015 à avril 2016.
- Elle est également la petite-nièce de l’ancien président du Bénin Emile Derlin Zinsou, mais aussi du cardinal béninois Bernatdin Gantin
- Elle est devenue une figure incontournable du monde de l’art sur le continent africain avec son combat pour la restitution par la France des 26 trésors royaux d’Abomey « emportés » du Bénin en 1892
Madame Zinsou pourra donc choisir parmi les candidats à la Villa Romaine, les plus décolonianistes de type Kader Attia ou Adel Abdessemed
Elle pourra à son aise prolonger l’action décolonialiste déjà bien amorcée par son prédecesseur qui avait à son actif :
- La révolte des artistes résidents, menée par l’urticant plasticien latino multi-media, Ivan Argote, de la financiale galerie Perrotin, candidat au prix Marcel Duchamp 2022. Cette promotion 2021 de 16 petits scrogneugneux émergents résidents à la villa Médicis, protestaient contre la présence d’une série de huit tapisseries insupportables à voir de l’époque coloniale sur les murs du célèbre établissement, qui les a pourtant grassement nourris logés et rémunérés par une bourrse annuelle de 42000 euros …. Ils entendent bien faire en sorte que l’exposition de leurs travaux réalisés en résidence, soit un grand moment d’action en termes de convergence des luttes des minorités opprimées à travers les siècles, et de dénonciation de l’odieux esclavagisme de Colbert…par ailleurs Créateur de cette Villa Médicis –Académie de France en 1666.
- L’accueil comme résidente de la journaliste et essayiste française d’origine algérienne Louisa Yousfi connue pour son soutien au Hamas , ses pleurs suite au décès de son leadre Ismael Haniyeh, son engagement auprès des Indigènes de la République de son amie pro-islamiste Houria Bouteldja , sa défense de femmes voilées, et pour lui permettre d’écrire tranquillement son livre intitulé « Restons barbares » qui se donne pour but d’aider tous les Noirs et les Arabes à « s’extraire des turpitudes du privilège blanc ». …Louisa va donc vivre pendant un an, dans un cadre idyllique, grâce à l’esclavagiste Colbert, aux crochets d’un pays qu’elle abhorre et sous l’aile d’une civilisation qu’elle exècre.
Rappelons que cette désormais nuisible Académie de France à Rome va continuer à coûter environ 10 millions d’euros par an aux contribuables français.