AU SOMMET DE L’INEPTE ET DU GROTESQUE PERFORMATOIRES

Cette pitoyable grotesquerie  art-contemporainiste se passe  en ce moment dans un FRAC (comme par hasard)

Avec la performeuse internationale Esther Ferrer

« la performance, ça ne s’apprend pas, ça se pratique » dit-elle…Ben voyons, pourquoi se gèner quand on a la subvention du Ministère et le soutien de la radio de service public?

La performance comme liberté d’action

« Il n’y a rien de sacrilège à vouloir faire ce que l’on veut faire et à en être responsable. Dans le cas de la performance, beaucoup considèrent ça comme un sacrilège, mais moi pas du tout. Si vous voulez faire des performances, faites-le. Personne ne m’a appris à le faire. Dans ma génération, on a appris en essayant de faire et en nous voyant faire les unes et les autres. C’est très sain aujourd’hui de commencer comme ça, plutôt que de se repasser l’histoire, connaître toutes les définitions, tout ce qu’on a dit, tout ce qu’on n’a pas dit… La performance ne s’apprend pas, elle se pratique. »

 C’est de l’art pour moi, et si ça n’en est pas pour les autres, c’est leur problème, pas le mien. » Gniark ! Gniark !

« La préoccupation fondamentale de mon travail, c’est le temps. Je me suis demandée pendant longtemps comment le représenter visuellement. J’ai trouvé comment le faire avec la voix, avec le mouvement, mais comment représenter le temps de façon fixe ? Et un jour, ça m’est venu comme ça : on peut le faire avec les traces qu’il laisse, dans toute chose. J’ai pensé qu’on pouvait le faire avec la tête de quelqu’un, donc j’ai demandé à des gens si je pouvais faire une photo d’eux tous les cinq ans. Et puis ils m’ont dit de trouver quelqu’un d’autre, alors j’ai commencé avec ma tête. » Ben voyons Ginette !

Ecoutez-moi ça, c’est du compact :

…et c’est sur une radio de service public

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/affaires-culturelles/esther-ferrer-est-l-invitee-d-affaires-culturelles-3520679?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR2hyetyEosAavJsZn6JXRi4-GMcSJrOrSBSg4QrWtu8dm56v7SmfUg8qQ4_aem_ODAXk9O_T9T7nPh_pSSZwA
Une
Pitoyable grotesquerie
Elle explique sa démarche performatoire

L’exposition “Esther Ferrer, Un minuto más (Une minute de plus)”, est à découvrir au FRAC Franche-Comté jusqu’au 27 octobre 2024.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *