Il faut fermer dare-dare les écoles d’art !
Texte publié en Avril 2023
Republié sur facebook , il y a trois jours, il a obtenu 28000 vues ce jour 30 oct 25…Ce qui mesure l’attention inquiète qui est portée à ce sujet des écoles d’arts publiques, comme outil d’endocrinement et de décervelage, financé par le contribuable (et sur le modèle du service publique de l’audio-visuel)
Ce texte est envoyé aux parlementaires , pour leur signaler ces écoles particulièrement coûteuses et artistiquement contre-productives , qu’il serait judicieux de supprimer le plus tôt possible pour réduire un peu la dépense publique.

Voici, donc ce tas de terre avec chaussures posé sur le parquet de la salle d’exposition où les élèves de l’Ecole des Beaux-Arts de Rouen montrent les œuvres qui leur ont permis d’obtenir le Diplôme de fin d’Etudes avec Félicitations du Jury.
Remarque en passant : Si l’auteur de cette « œuvre » de pure atrocité visuelle et mentale , est , par malheur adhérent de l’ADAGP, je cours le risque, comme cela s’est déjà passé , de méchantes menace de cette dernière, pour avoir contrevenu aux droits moraux et intellectuels de ladite atrocité… Dans le même registre des droits d’auteurs et copyrights, j’ai entendu dire que les documentaristes du servive public de l’audio-visuel avaient renoncé à publier les vidéo des atricités du 7 octobre, non par sousci de de pas montrer des horreurs insupportables, mais par crainte d’avaoir à payer des droiots d’auteur au Hamas
Une œuvre semblable à quantité d’autres produites par les écoles des Beaux-Arts en France. Une œuvre qui« par son appartenance à ces systèmes symboliques spécifiques, contribue à l’accroissement de nos capacités de perception et de connaissance…, de nos capacités de visualisation et de schématisation »…nous précise Mr Hibloux, Directeur de l’Ecole des Beaux-Arts de Lyon.
Alors oui, il faudrait fermer ces lieux d’endoctrinement et de radicalisation à l’inepte artistique, ces lieux criminogènes d’apprentissage à la torture du sens commun et à la martyrisation de l’art…Sinon les supprimer définitivement, en tous cas les fermer un bon moment, le temps de tout réorganiser et de les purger de toutes les variétés d’enflures et de monstruosités qu’elles y ont produites et accumulées depuis 40 ans.
Au vu de ces « œuvres » ahurissantes, que vous pouvez aller découvrir sur internet, produites par cette trentaine de jeunes gens sortant d’Ecole des beaux-Arts de Nice, https://villa-arson.fr/actualites/2025/04/trois-artistes-diplomes-de-la-villa-arson-a-100-lexpo-2025/
et montrant bien l’état de délabrement de la personnalité de ceux-ci, ne pensez-vous pas qu’il est urgent d’arrêter le carnage ?
Comment, de telles épouvantables excrétions cervicales, peuvent-elles justifier cinq ans d’études préalables…Comment justifier les salaires de la centaine d’enseignants activés pour ces opérations de décervelage ?…Comment justifier l’énormité du coût en argent public pour la « formation » de gens qui ne seront même pas artistes à 98% ?… Comment justifier cette nouvelle et coûteuse fournée de petits schtroumpfs égocentriques, pédants, mythomanes, cocaïnomanes, indéradicalisables , socialement toxiques, décérébrés mentaux, voués à l’assistanat et au subventionnat à vie et sans le moindre espoir d’être un jour « émergents sur la scène artistique international » ?…
Mais qu’importe l’évidence de ce désastre, la sinistre bouffonnerie doit continuer coûte que coûte, car il en va de l’exception culturelle française, car il en va des rentes de situations des milliers d’agents multicartes de l’art dit contemporain. Et qu’importe si ce délirant totalitarisme de l’inepte culturocratique soit de plus en plus ridiculisé, ringardisé, décrédibilisé, en dehors de l’appareil, tant que quantités d’ irréductibles de l’idiotie officielle restent toujours aux manettes de l’appareil à torturer l’art français… Et tant que Madame la Ministre de la Culture et de la Communication, Audrey Azoulay est là pour nous annoncer sans honte, qu’elle va installer des artistes du même tonneau en résidence dans une centaine d’établissements scolaires à la rentrée prochaine…
Alors vous imaginez l’horreur et la consternation dans les chaumières , quand tous ces petits nervis du duchampisme de la Villa Arson ou d’ailleurs vont arriver en résidence dans telle école primaire, ou tel collège ou lycée…
L’effarant témoignage d’une ancienne élève de l’école des Beaux-Arts de Bordeaux
Ce texte, dont voici des extraits, a fait le buzz sur les réseaux sociaux, assorti de centaines de commentaires et témoignages appuyant celui de Mathilde :
Ambiance transgressive
« Je suis quelqu’un de timide certes  mais très sociable.  Mais ce fut une véritable horreur pour moi de m’intégrer dans cette école. Tout d’abord j’aimerais parler des élèves. En première année, je suis tombée sur des gens extrêmement prétentieux, qui se disaient déjà « artistes » et qui méprisaient les autres, les plus réservés. Des groupes se sont très vite formés au sein de la promo et je n’ai pas du tout eu l’occasion de m’intégrer dans un de ces groupes. Pourquoi ? Je n’étais pas vraiment dans « l’ambiance » Beaux – Arts. Ce qui est drôle (ou pas) c’est que je m’étais dit qu’en venant aux Beaux – Arts, je rencontrerais des personnes ouvertes d’esprit et passionnées, avec lesquelles je pourrais parler de tout pendant des heures. La désillusion ne fut que plus violente. Les sujets de conversation ne tournaient qu’autour des multiples soirées durant lesquelles élèves et profs couchaient ensemble et se droguaient. Si tu veux rentrer dans ce monde, tu as intérêt à faire la même chose que les autres. Le problème, c’est que ma vision du rapport élève/professeur ne correspondait absolument pas à la réalité de cette école. Ici on se tutoie, on se tape dans le dos, on fait des blagues salaces, on suce et on prend tout ce qui passe en soirée pour être en bon rapport avec tout le monde.
Le café pompier
L’école des Beaux Arts de Bordeaux dispose d’une annexe, « Le café pompier », juste à côté, dont le rez-de-chaussée est un café « associatif » tenu par quelques élèves triés sur le volet (les plus lookés et les plus méprisants aussi). Ce « café » est l’endroit où toutes les soirées se passent et si tu veux faire partie des gens cool, tu ne dois rater aucune soirée. C’est « The place to be ». C’est également l’endroit où tu suces pour monter ta côte de popularité auprès des profs et où tu écoutes de la « bonne musique » parce que de merde. Ici, tout le monde se connait et « s’adore », on picole, on danse, on drague, et on prépare les coups de pute du lendemain. Je pense que j’ai du aller à deux ou trois soirées max, et j’en suis partie aussi vite que je suis arrivée. Si t’es pas dans les bails, t’es seul-tout dans ton coin et on va bien t’ignorer comme il se doit pour te faire comprendre que t’es pas à la hauteur de leur intellect. Bien sûr si t’as pas le look Beaux – Art – compatible, c’est-à-dire, fringues de friperies ou fringues de tes grands-parents, ça va pas le faire non plus. Non ici, si t’es un peu apprêté(e) ça passe pour de la superficialité et donc t’es pas intéressant(e).
Ça m’a appris l’hypocrisie.
En dehors des soirées, en cours, c’est un peu le même problème. On te dit pas bonjour dans les couloirs, on te regarde pas ou alors de haut. Il n’est pas vraiment question d’entraide. Chacun est dans son coin, dans son délire, on partage très peu, seulement avec les gens aussi barrés que toi. Je me souviens d’une fois où j’ai aidé une fille à monter une table à l’étage par pur altruisme : elle en revenait pas de ma gentillesse !
Les profs aussi c’est quelque chose. Comme dit plus haut, tu peux te les mettre dans la poche en faisant des soirées avec eux, ou alors faut vraiment que tu sois ultra dans le délire « conceptuel », que tu utilises le jargon adéquat (c’est-à-dire que tu déblatères des inepties enrobées de mots pompeux pour parler d’une vieille pince à linge). Si t’es un peu trop bon élève, qui bosse beaucoup mais qui parle pas trop, ça va être chaud pour toi. Parce qu’il faut aussi avoir énormément d’humour, en tout cas un certain type d’humour. Si t’es pas drôle, tu dégages. Bah oui ! parce qu’il faut savoir combler les blancs dans une conversation d’artistes sinon on se fait chier et ça c’est pas possible parce que c’est tellement fun les Beaux – Arts. Et puis ce qui fait tout le charme de l’école, c’est que les profs ne s’apprécient pas entre eux, eux aussi ils forment des petits groupes de langues de putes, ils se tirent dans les pattes, ils n’hésitent pas à balancer les uns sur les autres devant les élèves. Et là, t’as intérêt à faire ton choix, à décider dans quel clan tu te trouves, parce que c’est pas possible d’aimer tout le monde tu comprends ? Du coup, ça donne des situations ultra- malsaines, où tu as des avis différents sur ton travail, mais tu ne peux pas tous les prendre en compte, parce que c’est mal vu. Tu choisis ta team, comme dans pokémon. »
J’approuve et je découvre avec jubilation votre revue ! mais il ne faut pas confondre les zarts plastocs en toc (du conceptuel et surtout pas du savoir-faire) et les ZARZAPP (arts appliqués) où j’ai été formée (Ecole Boulle) et que j’ai enseigné longtemps ! Et oui, je me suis régalée à apprendre la gravure, la sculpture, le dessin, la peinturlure, la poterie et le travail du bois… TOUTES les techniques de DESSIN dans le cadre des Métiers d’Art et même le tracé de la lettre gothique avec mes élèves ados des cités qui adoooraient ça aussi, avec le graf et le tatouage !
La Fac d’Arts Plastocs a été fondée dans les années 70 avec les DRACS et FRACS qui jouent du pipeau. Et puis les Beaux Arts ont abandonné l’apprentissage des techniques traditionnelles pour imiter les Facs de PlasTOC. Mais il y a toujours eu l’Art Officiel (les Pompiers) financé par l’Etat et l’Art marginal (les Fauves) indépendant. Je vois aussi, dans les galeries snobs, beaucoup de faux Art Brut. Le public populaire ne s’y trompe pas et aime toujours les virtuoses du pinceau avec le Lowbrow Art.
Édifiant. Je suis étonné qu’il n’y ait pas plus de commentaires à votre intéressante publication. Et de repenser aux merveilleux travaux réalisés par les petits des classes CP – CE1 – CE2 de l’école Mazicou d’Albi où nous avions travaillé sur Kandinsky et la kinésthésie en parallèle d’une de nos expositions (ma sœur et moi) dans ce quartier aux enseignantes, à la directrice, et à l’association qui nous avait invités, remarquables (https://www.facebook.com/share/r/1BfmM3wnVH/). Quand je compare les deux, le contraste est grand : – où se trouvent la notion d’émerveillement, de découverte, d’élargissement de la conscience, d’enrichissement de la sensibilité, d’éveil de l’esprit, sur les chemins qui déconstruisent un rapport au monde nous liant aux fondamentaux, tout en éloignant le public d’un dialogue profond avec ceux qui devraient ouvrir des voies au lieu de barrer des chemins ? …Tant pis si mes propos sont source de mépris pour ceux-là d’une certaine caste, mais j’ai au moins la fierté d’avoir vécu de mon art (et de ma façon de transmettre) toute ma vie sans aide ni subvention, et sans soumission, que ceux qui méprisent aussi vos propos puissent en dire autant ! 😉