Le magazine dit d’extrême-drouate Valeurs actuelles nous informe que 93% de ses lecteurs rejettent l’art vitrailler de Mlle Tabouret pour son projet de rermplacement des vitraux de Viollet-Leduc par les siens avec les soutiens de Mrs Macron et Perrotin.
Y aurait-il un art de gauche, un art de droite, un art d’extrême -centre ?
La beauté serait-elle de gauche et la mocheté de droite ?…ou bien l’inverse
C’est une question qui devrait hanter nos sociologues de l’art…mais comme les statistiques ethniques sont interdites aussi dans leur discipline, celle-ci est vouée à une totale indigence.
Il parait que Buren est de gauche (normal car c’est du couple Mitterrand-Lang qui l’a engendré). Il parait que Vernard Benêt est plutôt d’obédience droitiére…
Mais on sait qu’Emmanuel Macron est adepte des deux, « en même temps », puisque c’est au premier qu’il a confié la grossière et honteuse colorisation de la verrière de son jardin d’Hiver de l’Elysée … et qu’il fréquent assiduement le deuxième, qui est son voisin à Brégançon.
On sait aussi que la petite Tabouret est la mascotte des chroniqueurs d’art de Libération , de france-Inter, du Monde , de l’Obs et de l’humanité, qui ont des érections mentales quand l’accorte jeune fille leur affirme que « l’art c’est quelque chose qui se vit avec son corps ». Ouarf ! Ouarf !
Ecoutez ici Mlle Tabouret pérorer sur France-Inter :
Quoi qu’il en soit, ce que tout le monde a bien compris (sauf les sociologues de l’art), c’est que l’amour et le respect du patrimoine est d’essence droitière voire réctionnaire, alors que l’addiction à l’art déconstructif dit contemporain est d’essence gauchière et progressiste.
Tout le monde a bien compris aussi que l’art contemporain sans contenu ni valeur patrimoniale a besoin de parasiter le patrimoine pour se donner quelque public et usurper ainsi quelque légitimation.
Tout le Monde a bien compris aussi que c’est l’art contemporain déconstructif, qui est subventionné avec l’argent du citoyen, au détriment du patrimoine qui se dégrade et dont assure pas la mise en sécurité
Tout le monde a bien compris que dans cette affaire de remplacement de Violet-Leduc par la jeune Tabouret , on atteint un niveau de collusion record entre le service public de la culture et les grands intérêts privés de type Perrotin et Cie .