La stupidité, quand elle est correctement intellectualisée, peut atteindre des profondeurs abyssales.
C’est ce que l’on voit avec cette parpaingomanie en art, qui illustre au mieux la célèbre formule de Georges Orwell : « Cette idée est tellement absurde, qu’il n’y a que les intellectuels pour y croire »

En effet, quantité de plasticiens conceptuels dits contemporains utilisent – comme le pneu – le parpaing dans leurs œuvres…
Le parpaing, tout comme le pneu, a-t-il pour eux valeur plastique, ou symbolique, allégorique, laxative ou cathartique?

Cette parpaingophilie galopante dans le création plastique française , rélève-t- elle d’ un dysfonctionnement d’ordre sociétal, cérébral, psycho- familial, religiueux , génétique, digestif, ethnique, idéologique, ou bien tout simplement hormonal ?

Les études sur le sujet n’ont pas été encore faites, puisqu’il n’existe pas encore de vrais sociologues de l’art.
Si vous avez une ou plusieurs réponses à la question, envoyez-la- les moi . Merci ! Merci !
Nicole.esterolle@yahoo.fr
C’est la jeune plasticienne émergente d’origine auvergnate Lucie Chaumont qui a formulé le mieux la vertu du parpaing en tant qu’objet plastique :

« Dans le domaine du bâtiment, le parpaing est une sorte de dénominateur commun, c’est un objet standard contemporain sur lequel j’ai travaillé à plusieurs reprises. Ici, j’ai fabriqué un parpaing en céramique, à la main. Je l’ai réalisé en utilisant du grès chamotté dont l’apparence fait penser à du ciment. Par la relation entre l’objet représenté et la technique employée, je « déstandardise » un objet industriel. Ce parpaing est la « première pierre », il porte en lui le potentiel d’une construction à venir » Ben voyons Ginette !




