Ils auraient pu, grâce au sérieux de l’information et de l’analyse qu’ils proposent, nous protéger de cette calamité internationale mais surtout nationale qu’est l’art dit « contemporain »…s’ils n’avaient subi l’ostracisation d’une férocité toute soviétique du système institutionnel, des bibliothèques, des médias en général, mais aussi des revues d’art.
On peut encore se les procurer….
Sur Amazone notamment
En ouvrages papier ou en fichiers numériques trois fois moins cher